Menace de perdre l’ancienneté lors d’un refus de travail
Certains gestionnaires menacent vos collègues de leur faire perdre de l’ancienneté si elle refuse des quarts de travail ou des déplacements. Sachez que cette conséquence est totalement fausse. Les gestionnaires sont prêts à n’importe quoi pour vous faire accepter l’inacceptable.
Appelez-nous quand vous faites face à ce genre de menaces.
Priorisation du personnel d’agence au niveau des conditions de travail
Pourquoi est-ce que l’Employeur fait attention aux professionnelles qui viennent des agences, mais pas à nous? Sauf exception, il n’hésite pas à leur donner des quarts de jour, pour ne pas les perdre. Il ne leur fait pas faire de TSO. Et nous là-dedans? Elle est où l’équité?
Le comité exécutif du SPSCA
4-L’employeur menace l’application de l’arrêté (2 fins de semaine sur 3) lors de dénonciations.
Lorsque nous dénonçons des situations que nos membres trouvent inacceptables, certains gestionnaires du service des relations travail et des ressources humaines ne peuvent s’empêcher de nous menacer ou d’essayer de nous faire taire en nous disant qu’ils envisagent sérieusement la possibilité de faire travailler nos membres 2 fins de semaine sur 3. Nous avons validé auprès du DG lequel n’a pas nié la possibilité de le faire. Nous trouvons ça déplorable de menacer nos membres de la sorte. Déjà que notre profession n’est pas facile avec le travail les fins de semaine, c’est tout simplement odieux que dans Chaudière-Appalaches on envisage sérieusement de nous faire faire 2 sur 3.
Tout ça alors que, suite à une étude minutieuse de votre syndical pendant le temps des fêtes, nous avons constaté qu’il y a une dizaine de nouvelles embauchées qui travaillent à temps complet, de jour, en CLSC, sans fin de semaine.
La pandémie est un révélateur du vrai visage de notre employeur : menacer des employées de 20 ans d’ancienneté de faire 2 fins de semaine sur 3 et d’un autre côté offrir à des salariées avec 20 jours d’ancienneté des longs remplacements de jour sans fin de semaine.
Nous ne nions pas qu’il y a une situation d’urgence, nous ne nions pas qu’il faut prendre des moyens importants et non orthodoxes afin d’offrir les services! Nous demandons seulement à ce qu’on respecte minimalement l’ancienneté de tout le monde. Visiblement, c’est trop demandé!
Le comité exécutif du SPSCA
3-Non-respect de l’ancienneté et Climat de travail d’un centre d’activités détérioré.
Depuis plusieurs semaines nous dénonçons à l’employeur le déplacement d’un salarié de la gastroentérologie, de près d’une vingtaine d’année d’ancienneté, vers l’unité de chirurgie.
Quand il s’est rendu compte que des salariées moins anciennes que lui n’étaient pas déplacées ou qu’on le remplaçait sur son poste par une retraitée réembauchée à zéro ancienneté, il trouvait la situation inéquitable.
Le déplacement devrait se faire par ordre inverse d’ancienneté
C’est une question d’équité et de justice entre nous toutes. L’ancienneté est un critère neutre que tout le monde connait et reconnait. Jusqu’ici, l’employeur refuse de corriger l’injustice.
Comment se fait-il aussi que la DSI n’y voit pas cette mauvaise utilisation de ressource ??
Le comité exécutif du SPSCA
2-Délestage de salariée de plus de 20 ans, mais on assigne quelqu’un pour la remplacer.
Depuis plusieurs mois, une salariée du corridor de service, travaillant à HDL depuis plus de 35 ans, est déplacée au 9000. Pas besoin de vous dire qu’il y a d’autres salariées moins anciennes qu’elle au corridor de service et dans l’hôpital, mais l’employeur la cible quand même. Pourquoi ne pas faire attention à l’ancienneté des salariées? Pourquoi ne pas montrer du respect envers nous dans cette période difficile pour tout le monde? Une fois informé de la situation, à haute direction et la DSI refuse de corriger la situation. Pire encore, on nous dit qu’on respecte la salariée puisqu’on lui fait faire des tâches de PAB ou de commis, à sa demande. C’est simplement insultant. Nous demandons des changements. Aberrant aucun respect pour l’ancienneté.
Le comité exécutif SPSCA
1-Refus de la DSI de respecter l’ancienneté d’une salariée en lien avec un déplacement, refus de réparer l’injustice sous prétexte de l’expertise.
Depuis plus de 6 semaines, nous dénonçons à l’Employeur le déplacement d’un salarié de la médecine de jour qui a une quinzaine d’années d’ancienneté qui a été déplacé à l’urgence.
Quand il s’est rendu compte que des salariées moins anciennes que lui et parmi celles-ci certaines déjà orientées que lui sur son unité de médecine de jour qui n’étaient pas déplacées ou que le déplacement de sa collègue moins ancienne avait pris fin, il trouvait la situation injuste. Il a alors demandé de retourner sur son poste.
Selon nous, dans des situations exceptionnelles de délestage comme nous en vivons en ces temps de COVID, lorsque des salariées ont la même expertise, le déplacement devrait se faire par ordre inverse d’ancienneté. C’est une question d’équité et de justice entre nous toutes. L’ancienneté est un critère neutre que tout le monde connait et reconnait.
Jusqu’ici, l’employeur refuse de corriger l’injustice. Lorsqu’informé dans une rencontre le 11 décembre dernier, la DSI madame Liliane Bernier disait que le salarié avait fait sa part et qu’il devait être rapatrié pour qu’une moins ancienne le remplace. Toutefois, la direction avait changé son fusil d’épaule lors de la rencontre du 16 décembre. Cette fois, monsieur Claude Rainville nous indiquait que nous devions être assez intelligentes pour comprendre que l’employeur ne corrigerait rien du passé et ne permettrait pas au salarié de revenir en médecine de jour.
Désolé monsieur Rainville, nous ne sommes probablement pas assez intelligentes pour vous, mais nous trouvons insultant pour nos membres que l’employeur refuse de corriger des situations aberrantes qui pourrissent le climat de travail et nos relations avec nos collègues de travail. L’ancienneté c’est important, même dans des situations de crise!
Le comité exécutif du SPSCA
TS/TSO/Surcharge de travail.
TS/TSO/Surcharge de travail.
Comité de soins/ Collaboration de l’employeur difficile, volonté d’amélioration minime.
TS/TSO/Comité de travail en cours.
TS/TSO/Comité de travail en cours.
TS/TSO/Surcharge de travail.
Comité de travail/ Délai d’exécution long.
Comité de travail/ nouveau/ Surcharge de travail.
TS/TSO/Surcharge de travail.
TSO/Surcharge de travail.
Comité de soins/ collaboration difficile.
-CHSLD laissé sans présence infirmière
-Psychiatrie Hôpital Saint-Georges TSO
-URFI de Beauceville maintient des services malgré manque de personnel
-CHSLD Beauceville TSO
-Chirurgie Lévis TS/TSO
-CHSLD Ste-Claire manque de personnel